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Par lightlilooe1 le 12 Janvier 2013 à 23:21
Il était une fois une adorable goule dont le cœur n’était que gentillesse et douceur. Elle cousait toute la journée et n’avait nullement le temps de jouer qu’elle se languissait durant sa non-vie.
Son nom était Cenfilion et elle habitait avec ses trois (3) demi-sœurs qui n’étaient pas aussi gentilles qu’elle mais plutôt totalement et volontairement méchantes.
Un jour, elle leur fit part de l’un de ses plus grands rêves mais ses demi-sœurs se moquèrent d’elle : « Tu ne tomberas juste que sur des lambeaux de coutures lui dirent- elles ». Ce même jour-là, elles reçurent une invitation du roi les convoquant à un grand bal. Cenfilion était excitée à l’idée d’y participer, mais ses demi-sœurs lui dirent : « Non! Tu n’iras pas car tu as trop de vêtements à raccommoder.» Et quand vint la nuit du bal, la pauvre Cendrillon était assise seule dans l’obscurité. Elle était tellement triste de ne pas pouvoir y aller qu’elle en laissa échapper des étincelles,
- Arrêtes donc de gémir et de pleurer dit une voix derrière elle. Tu vas seulement finir par tremper tes vêtements et avoir le nez qui coule. Tu devrais plutôt aller faire la fête.
Cenfilion prit peur et se retourna rapidement. Une abominable lumière jaillit, étincelant d’un bleu totalement froid puis…
- Je suis ta goule marraine la fée, je suis ici pour te permettre de réaliser tes rêves. Nous n’avons donc nullement de temps à perdre. Maintenant, on se presse, toutes les choses sont déjà prêtes excepté toi.
Sa goule marraine la fée s’activa et prit sa baguette magique qu’elle agita tandis qu’une étincelle magique tourbillonnait autour d’elle telle des flocons de neiges miroitantes et les vêtements ainsi que les cheveux de Cenfilion se métamorphosèrent. Elle était enfin prête à y aller.
Comme Cenfilion montait dans le carrosse sa goule marraine la retient juste le temps de l’avertir : « Tu devras quitter le bal avant minuit. Surtout n’oublie pas cela sinon tu le regretteras. »
Au bal, la beauté et la grâce de Cenfilion la démarqua des autres invités et capta l’attention de tous. Ses demi-sœurs quant à elles ne la reconnurent pas et se demandaient qui elle pouvait bien être.
Cenfillion dansa avec deux princes, l’un timide et l’autre était un plus sûr de lui. Elle ne les vit cependant pas simultanément durant toute la soirée, ce qui paraissait un tout petit peu étrange. Et tandis qu’elle dansait avec le prince timide, le premier coup de minuit sonna.
- C’était vraiment bien dit- elle au prince, mais il se fait tard et maintenant, il est temps que je rentre.
Et tandis qu’elle quittait le château à la hâte, son pied se détacha et elle perdit sa chaussure. Elle trébucha et glissa. Puis quand le 12ème coup de minuit sonna, toute la magie avait maintenant disparut.
Le lendemain, Cendrillon se réveilla au bruit de chevaux et de bavardage incessant. Elle se faufila à l’étage afin de savoir ce qui se passait. Elle ouvrit la porte juste un peu et avec son œil vert, elle scruta la pièce. Elle vit le prince –pas celui qui était timide- qui tenait son pied et sa chaussure. Ses demis- sœurs se trouvaient face à lui et disaient qu’il n’y avait aucun monstre dans la maison à qui ce pied et cette chaussure appartenait. Mais le prince ne les crut pas et refusa de partir.
Il n’était donc pas seulement mignon mais intelligent aussi! Pensa Cenfilion.
Alors traversée d’un semblant de courage, Cenfilion se décida à entrer dans la pièce, mais elle oublia qu’il lui manquait un pied. Elle trébucha et tomba face contre terre. Le prince se précipita pour l’aider et lui dit : « M’lady, je pense que ce pied est le vôtre. »
Cenfilion ne sut quoi dire à part : « Hey » et pour la première fois de sa non- vie, elle n’avait pas d’aiguille à sa disposition.
N.B: Traduit par LightLilooé
Spécialement à ma goule Chipie87 qui me la réclamait. So bonne lecture ma belle et à tous mes Honey Honey's du M.H.W
3 commentaires -
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Par lightlilooe1 le 2 Décembre 2012 à 00:17
Une nuit de pleine lune le petit chapeloup rouge, un panier de friandises à la patte, s’en allait voir sa grand-mère qui n’allait pas trop bien.
- Suis à la lettre la règle de la meute et ne parle à personne en chemin lui prévient sa mère. Va tout droit et dépêche- toi.
- - Oui maman dit le petit chapeloup avant de la quitter en gambadant et en pensant qu’aucun monstre ne lui ferait du mal. Si seulement, elle avait sût.
À la croisée des chemins, elle le vit, sa tête en feu, c’était un élémenataire du feu dont le nom était Thomas Cramé.
- Hé petit chapeloup s’écria t’il. Il est un peu tard pour que tu te promènes ici.
- Je vais chez grand-mère loup avec ce panier remplis de friandises et puis, c’est la pleine lune, je n’ai vraiment rien à craindre.
Thomas, tenta vainement de prendre quelques bonbons dans le panier du petit chapeloup rouge mais elle ne voulut rien lui offrir. Il attendit donc qu'elle disparut complètement de son champ de vision puis s’élança vers un raccourci qui menait à la cabane de mère grand tout en se disant qu’il savait ce qu’il allait faire pour obtenir ces friandises.
Une fois là-bas, il fut content de voir que grand- mère loup était absente. Il s’habilla comme elle et se glissa dans son lit à baldaquin alors qu’on frappait à la porte.
De la chambre étant, il avertit le petit chapeloup rouge en tentant de son mieux de grogner comme grand- mère loup : "Je suis un peu trop faible et j’ai bien trop mal pour venir prendre ton panier. Laisse les friandises là et je les prendrai demain quand je sortirai de mon lit dit- il".
Un peu méfiante, le petit chapeloup rouge rentra dans la chambre pour vérifier l’état de sa grand-mère.
- - Grand- mère loup ! pourquoi ton teint est aussi pâle ?
- - Oh ma chérie, c’est juste parce que je me suis ciré (faire un gommage)
- Grand-mère loup, pourquoi il me semble que tes oreilles sont petites ?
- - Oh ma chérie, c’est juste parce que mon bonnet les couvre.
- - Grand- mère loup, pourquoi as- tu perdu tes longues dents pointues ? Peux- tu cesser de dire ma chérie, je sais que c’est toi Thomas.
Son plan maintenant découvert, Thomas s’enfuit de la maison avec le bonnet de mère grand toujours sur sa tête. Et tandis que le petit chapeloup rouge le regardait courir jusqu’à la foret, elle pensa que si Cramé voulait un petit gâteau, il n’avait simplement qu’à dire s’il- vous plait.
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